mardi 28 février 2012

comme l'air s’unit à nos corps

"Bienheureux vraiment celui qui de toute la réflexion de son intelligence est collé à la prière de Jésus et appelle celui-ci continuellement dans son coeur, comme l'air s’unit à nos corps et la flamme aux cierges. [...] lorsque le saint Nom vénérable du Seigneur Jésus ne cesse de briller dans la réflexion de l'intelligence, il engendre d'innombrables pensées lumineuses comme le soleil."

Hésychius de Batos, sur la sobriété et la vigilance, chap 196, in "La Philocalie", trad. Jacques Touraille.

 

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